[DAMN] » Kazawa Jorge

I - Carte d'Identité

Nom : Kazawa
Prénom : Jorge dit Jo'.
Âge : 19 ans
Profession : Etudiante en Photographie.
Groupe : Citoyens ?
Avatar : Go Ara
Post Vacant : Non

II - Description

Physique : Je marche. Sous la bise de minuit, je rumine. J’ai froid. Je fronce le front. Je l’entends, et pourtant je suis persuadée que c’est un rêve. Où-suis-je ? Suis-je morte ? Quel jour sommes-nous ? Quel mois ? Quelle heure ? Je ne sais plus. Dans ma tête tout se mélange. Ce paysage de neige qui s’étend à l’horizon, d’où vient-il ? Les flocons de neige portés par le vent me lacèrent le visage comme des coups de cutter. Mes pieds sont gelés, mon estomac douloureux, mes os prêts à se rompre. Un profond sommeil, puis encore un. Pour oublier le froid, la peur, la réalité. Pour oublier mon erreur d’avant.

Revenge is a Dish Best Savored Cold.

- Jorge …

Je trésaille. Je l’entend. Je me retourne, je le vois. Si proche et pourtant je n’arrive pas à le toucher. Que fais donc cette silhouette dans un désert de neige ? Et surtout, que fais-je moi dans ce désert ? Je ne discerne pas le visage de cet inconnu, je ne sais pas qui il est, et pourtant je ne m’affole pas. J’ai le pressentiment de le connaître, sa voix, sa silhouette, sa posture… Oui, je le connais. Et je me sens apaisée, j’ai certes froid, mais je me sens bien, c’est contradictoire je le conçois bien, mais c’est pourtant la vérité. Je m’approche, mais l’homme persiste à laisser un écart entre nous, soit. Je le vois me faire face, il pleure. Mais pourquoi ? Je le regarde dans les yeux, et j’y vois un mélange que jamais je ne pensais voir de toute ma vie. L’amour et la tristesse se reflétait clairement au fond de ses prunelle, allumant une lueur attrayante au fond de celles-ci. Etrangement en me concentrant, je pouvais y discerner mon reflet. Je me figeais. J’en avais envie. Ô combien, je voulais lâcher ma phrase favorite, mais je bloquais. Saurait-il répondre à mon interrogation, je ne voulais pas l’avouer, mais j’avais peur de sa réponse. J’appréhendais, mais la perspective d’y entendre la vérité était alléchante.

- Miroir, mon beau Miroir ! Dis moi qui est la plus belle ?

Je crus qu'il répondit à ma supplique, mais ses mains chaudes emprisonnèrent seulement mes poignets et les plaquèrent contre mon corps. Il se pencha, lèvres serrés et déposa un baiser furtif sur mon front. Je le sentis à peine et instinctivement, mes yeux se fermèrent.

- Tu connais la réponse, Jorge … , chuchota-t-il, et son haleine fraîche effleura ma peau.

Il y eut un éclair, un souffle inattendu. Mes paupières se soulevèrent d'un coup. Je l'avais perdu. Aujourd'hui le ciel était couleur encre, il y avait peut-être une éclipse; la nouvelle lune perçait le ciel de Tokyo. Suffoquant, mes mains emprisonnèrent ma poitrine dans l'espoir de reprendre mon souffle. L'idée me traversa, inquiétante, que je l'avais définitivement perdu. Je réfléchissais, je connaissais la réponse avait-il dit. Je savais que pour le récupérer, je devais faire mon mea culpa, les yeux clos, je méditais.


« Je l’admet que le peu de personne qui a eu la chance de m’admirer en toute discrétion sont malheureusement - tout comme heureusement - nombreuses. Mais qu’importe le grand nombre, ce qui en découle de leur opinion est quasiment la même pour chaque personne. Un accord fort harmonieux que Ann~, Narratrice au grand cœur, va vous conter : Un regard vif tout comme sournois, allumé par une once d’on-ne-sait-quoi au fond de mes prunelle. Une lueur tantôt provocatrice tantôt arrogante, un regard que je possède dérobé à un chat sauvage. Farouche et séductrice dans toute ma splendeur que ça soit dans ma gestuelle ou dans mon mental, mes rares qualités sont automatiquement mises en doute lorsqu’on m’observe d’un peu plus près. Un chat sauvage comme on n’en voit peu, aspirant à ma liberté, sans y être entravé par quiconque, étant pourvu d’un cœur replié sur lui-même et entouré de ronces. Il est donc inutile de s’arrêter sur la vision de mon corps de femme fatale, aussi pâle soit-il tel une poupée de porcelaine. Snow White fut souvent la princesse qui vint à l’esprit pour qualifier mon aspect physique, enfin en ce qui concerne ma couleur de peau. Dotée d’une démarche raffinée, je sais faire ressentir ma présence sans avoir besoin pour autant de me faire remarquer de manière exaspérante. Ayant un caractère extrêmement contradictoire avec ma beauté, je n’en reste pourtant que cruellement attirante, d’un beauté froide, noire selon la version de chacun, je n’en perd pas cependant mon charme démesurée. Un air malicieux, à vouloir vous titiller la main, à nourrir votre envie forte de caresser ma joue d’une bonne gifle dont je m‘en souviendrai, histoire de me faire ravaler ma langue dans ma poche. Ce petit sourire provocateur, faisant plisser mon petit nez tout rond, tout mignon. ma bouche fine d’un rosé pâle constamment étiré de mon éternel sourire exaspérant, avec un on-ne-sait-quoi de moqueur. Et ce petit air que je me donne comme si je prenais tout de haut et avec moquerie. Mon visage rond et jovial parsemé d’une ou deux fossettes lorsque mes sourires radieux se font voir -qui sont malheureusement très très rare- mènent souvent si ce n’est pas pour dire toujours, les gens sur une impression première généralement fausse. « Tout le monde a un double visage : un d’ange & un autre de démon ». Ce proverbe a toujours eu le don de me faire hurler de rire car sachons là les Gens que je peux paraître certes mignonne comme un ange, mais cela va de soi que cette impression est bien trop belle pour moi. Car rongé par on-ne-sait-quoi de rancœur et décimé par celui d‘un démon aux yeux d‘ange, moi, Kazawa Jorge, use de ce subterfuge pour tromper et corrompre la populace féminine. Le sadisme inné est une partie très présente chez moi. Sourire à tout bout de champ pour tout et n’importe quoi n’est pas quelque chose de commun ou ne serait-ce naturel. Mes sourires se limitant en temps normal aux rictus moqueurs lors de mes nombreuses prises de plaisir malsaines lorsque je joue à mon jeu préféré. Une chevelure longue et fine, tantôt châtain foncé, tantôt brune, soyeuse encadre un beau visage de manière sobre et naturelle tombant avec légèreté sur mes épaules. Une partie de mon corps que j’affectionne particulièrement. Comme je le disais précédemment, peu sont les personnes qui purent m’observer à la dérobée sans se faire asticoter par moi; Après une analyse détaillée de mon divin visage, leur regard s’attardèrent un instant sur mon corps et ma morphologie. Petite pour mon âge tout comme grande dans ma tête, je mesure un bon mètre soixante cinq pour peser cinquante kilos. Une proportion tout à fait normale, je ne parais pas comme une anorexique, je mange à ma faim sans pour autant me priver. J’ai certes un beau corps, mais cependant je ne sais pas tenir un plateau sans que ma bouche finisse par embrasser le sol. Je n’ai jamais sus d’où ou de qui je tenais ça, sûrement un problème d’équilibre vu que j’ai un problème d’oreille à cause de la pression d’eau et d’air sur ces derniers. Vous allez donc me dire : Mais pourquoi pratiquer la natation en dehors de mes études si cela me donne des douleurs insoutenables ? Tout simplement par défi, je veux lutter contre mes oreilles, qui sont d’une fragilité extrême. Possédant de belles mains blanches, je maîtrise l’art du piano avec brio, aimant plus que tout jouer des chansons classiques des plus grands compositeurs au monde, je prend donc soin de mes mains car elles sont souvent desséchées par le chlore de la piscine. Aimant porter de belles chaussures, j’ai aussi de beaux pieds blancs tout jolies, je pourrais aussi rivaliser avec Cinderella pour la chausse de sa pantoufle de verre. Séductrice de nature, tout les témoignages que Ann~, Narratrice ait réunis disent tous que jamais ils ne pensaient que je puisse être aussi sadique malgré mon air de je-m’en-foutisme inné. »

J’ouvris les yeux. Un sourire se fendit sur mes lèvres pulpeuses, je comprenais enfin.


Caractère : La douceur incarnée ? Je suis une jeune femme aussi belle que l'image de mon cœur. Dotée d'un caractère doux et aimable, jamais il m’arrivera de vous regarder de travers ou encore de vous bousculer en balançant des excuses hypocrites. Cruellement polie, quiconque constatera que la première chose que j’entreprend de faire est de m'excuser ; Même lorsque je n’ai pas de raisons à le faire ou encore ne suis pas en position de le faire, je ne peux m'empêcher de me perdre en excuses maladroites accompagné de courbures. Extravertie de nature, crier quand bon me semble, ou encore rire à gorge déployer est une chose qui n‘est pas rare dans ma personnalité. Je suis juste très respectueuse du monde qui m'entoure ; Archaïque ? Certainement pas, ne poussons pas le bouchon, mais disons que la politesse est un principe fondamental pour moi. Rêver les yeux ouverts est un trait de caractère ancrée en moi, souvent dites dans les nuages, je ne dément pas les dits des gens. Incapable de me mentir de manière convaincante, je n‘essaie pas d‘avoir une vision critique de moi. Malgré mon côté angélique, je suis une jeune femme indépendante qui aime suivre mon chemin et assouvir à mes convictions. Si je ne peux pas faire ce que je me dit de faire, alors mes efforts sont inutiles à mes yeux. La vie se résume en une bataille, gravir les échelons pour triompher, chuter pour mieux trépasser. Tel est ma philosophie. Très adulte dans l'âme, je prend les choses comme elles viennent, et anticipe le pire avec une grande vélocité, pour ainsi dire je prend mes responsabilités. Aussi fière que Narcisse, homme de la mythologie qui fut connu pour être tomber amoureux de son reflet, j’ai un amour propre pour moi et une fierté très présente. Orgueilleuse ? Jamais je n‘avouerai mes erreurs malgré la flagellation qu‘on m‘infligerai. En raison de mon obsession à vouloir dominer quiconque, on me mène par le bout du nez en me retournant mes atouts contre ma personne è___é . Dire non est quelque chose dont je ne suis pas capable, et je me fais toujours avoir, surtout par ce faillot de Akira.K. Mais pourtant, supplier quelqu’un à genoux en cédant n’est pas quelque chose que je ferai, j’ai peu de déontologie, mais il ne faut pas pousser le bouchon. Heureusement, Kiki est là pour me reprendre en main, mais je sais très bien qu’il ne sera pas toujours là à faire le bouclier, il faut que je me débrouille par moi-même mais cela me parait impensable *o* , je sais qu‘il me prend pour une crétine parfois lui aussi, mais il m‘aime ainsi. Un jour, j’aimerais tellement prendre mon courage à deux mains et les envoyer valser d’une réplique bien placé, subtile mais bien tranchante. La gêne ? Je ne connais pas ce mot. Jamais rien ne me mettra dans un état qu’on appelle la gêne ou encore la honte, je sais garder la tête haute malgré les représailles auxquelles je dois faire face. D’une maîtrise de mon sang froid, je sais contrôler mes sentiments, émotions à la perfection. J’ai fais un faux pas, ou encore une erreur ? Je m’excuse immédiatement de ma maladresse ! Jamais je n’oserai mentir, ou essayerai de mentir. Travailleuse de surcroit, je n’aime pas flemmarder quand la paresse me saisis, j‘aime que tout soit en ordre et proprement, je m‘acharne minutieusement dans tout ce que j‘entreprend. Râleuse le matin, je ne supporte pas qu’on me réveille aux fanfares ou encore aux cuicuis intempestifs des oiseaux. J’aime prendre mon temps pour me lever de moi-même et m’y presser le pas est quelque chose je n’apprécierai certainement pas. Mais lorsque je vais au travail, je suis très minutieuse dans ce que j’entreprend, j’adore préparer des bentô à Aki, voir son visage réjoui lorsqu’il l’ouvre pour le dévorer, et ainsi prendre des photos de lui en cachettes è__é ; Je vous jure, c’est hilarant à voir ! A vrai dire, ce que je viens de vous dire est mon souhait le plus cher, j’aimerais tellement qu’il me dise un jour que je suis pas aussi crétine quand je bois mon Yop. Je ne comprend pas. Je veux passer ma vie tranquillement, sans me faire remarquer, ce qui est éprouvant. Comparée aux autres, je dégage une grande présence, certaines personnes peuvent arriver dans une pièce sans se faire remarquer, moi, c'est le contraire. Toujours vivante et pétillante, je suis vue comme une petite fofolle sadique, souriante de plus, j’attire la gente masculine sans difficulté. Etrangement apaisante, il s'avérait que je calmerais les gens par de simples mots, forte en consolation, je sais utiliser les bons mots, au bon moment. Cette qualité est une preuve de sa maturité, pour dix neuf ans, je suis en avance mentalement, ce qui ne m’empêche pas de faire erreur, après tout je suis humaine. S'exprimant d'une façon polie et aimable, se tenant toujours droite, répondant sans détours et réussir tout ce que j’entreprend est le résultat de l'acharnement de mes défunts parents. Non rancunière, je n’arrive pas à rester longtemps fâchée avec mes amis ou quiconque même, surtout avec mon Akiki ; Il suffit qu’il lui montre sa bouille d’ange pour que je relâche automatiquement mon froncement de sourcil. Bref vil homme qu’il est.




Histoire : Comme l’a si bien dit Daenette -vous savez pas qui il est ? Bha moi si èé- , Dieu créa l’univers en sept jours. Je ne vais pas vous rappeler son processus, car c’est trop chiant. Allez donc lire l’histoire de la Terre tiens è_é ; Mais de l’arbre du mal et de la connaissance tu ne mangeras, car le jour où tu mangeras, tu en mourras. Dieu planta alors un arbre dans l’Eden. Mais il fallut que cette salope d’Eve aille bouffer de ce fruit défendu, ça se trouve il était tout périmé, pour ça qu’on en meurt alors. Dieu de fâcha tout rouge, et il chassa Adam et Eve la salope du Paradis. Je suis sûre qu’elle était blonde, tss à cause d’elle le monde entier ne respecte même plus la Femme, pas étonnant, avec une gourde pareille qu’on se tape pour Mère de l’Humanité ! =____= Brefouille, je m’appelle Kazawa Jorge, j’ai 19 ans et je suis une pauvre citoyenne de Tokyo. Autumn Tale. C’est un conte qui se passe en Automne ; où les feuilles flétrissent et déchoient des arbres chutant au sol dans un tourbillon de couleurs chaudes. Les feuilles jaunies par l’automne et à la vieille de leur cycle, elles voletaient au gré du vent avant de s’écraser paisiblement sur le sol, puis se relever dans les airs par une brise aussi forte soit-elle engendrer par le passage en trombe d’une voiture. Ce n'est pas la naissance d'une petite princesse endormie dans un château perdue aux milieux de ronces, ou encore d'une petite fille ancrée dans la misère. Non, il s'agit tout juste d'une naissance banale, en ce jour du 20 Novembre, un jour mi-ensoleillé par l’aurore où des dizaines d'enfants ont dû voir le jour tout comme moi. C'est durant le milieu de l’aurore, vers 6h24, car apparemment j’avais sûrement eut l’envie de faire ma sieste du dimanche, que je respire pour la première fois. Née dans une famille, où règne beaucoup d‘amour, j’étais très attendue. Mes parents avaient eu beaucoup de mal, peut-être parce qu'ils s’y sont pris un peu tard, étant donné que Madame Kazawa voulait se consacrer pleinement dans sa carrière de femme de science, elle était ingénieur - vous comprenez d'où vient mon esprit logique. Je suis née dans la Capital de Tokyo. Mon enfance s'est déroulé sans encombre peut-être un peu trop vite. Quand vous me regardez, vous voyez sûrement une femme mûre, mais en vérité, je viens à peine de faire mon entrée dans le monde des adultes, il n'y a pas si longtemps, j’étais encore bercée par la candeur.

Adam et Eve ne sont pas mes parents, ils sont plus cools et beaucoup plus beaux et tout. Enfin bref, je suis donc née en plein cœur de Tokyo, et j’y ais donc grandie. Fille d’un consultant et d’une ingénieur, j’ai toujours vécue dans un milieu précaire, pas aisé, mais pas trop précaire non plus. Même enfant, j’ai toujours été petite de taille. Même mon petit frère Katsuo me dépassait d’une bonne tête. « Petite Jorge, Jolie Petite Jor‘…Âââh ! » qu’il me disait toujours ; Héhéhé ! Petite mais coriace et redoutable. A peine ais-je sus marcher que quelques mois plus tard, je parlais déjà. Lorsque j’atteins l’âge d’aller à l’école maternelle et malgré ma tendance à être dans les nuages en chantonnant, j’étais une enfant curieuse et douée. Mon enfance s’écoula aussi rapidement qu’une plume s’échouant sur la surface de l’eau dérangeant ainsi la planéité de celle-ci en question. Ma primaire et mon collège se déroulèrent scolairement bien réussis et je fis donc mon entrée au lycée. Rien de bien spécial, les cours, les cours de chant et tout. J’avais quelques amies bien sûr, mais rapidement elle se mirent à me détester lorsqu’un homme m’entendit chanter sur scène durant la fête du lycée. La jalousie, l’envie ? Quoiqu’il en soit, j’y passe outre. S’il fallait rester seule pour vivre en paix, soit. Qu’il en soit ainsi. Je passais donc la fin de mon lycée seule, ce n’était pas une fin dramatique en soit, j’étais diplômée et j’intégrais une école d’arts en section photographie, quoi demander de plus ? Mh, rien, enfin je pense. Je suis âgée de dix neuf ans, je m’apelle Kazawa Jorge & c’était l’histoire de ma vie.

III - Le RPGiste

Pseudo : Ann~
Âge : 16 ans
Mutli-Compte : Non, je ne rejoindrais pas le mouvement schyzophrène. èé
Votre impression du forum : *o* -rien à redire-
Quelque chose à améliorer, ajouter? : J'ai été faible, encore éè ;; Mais Don't Worry les gens, j'veux revêtir à nouveau ma Dark Cape *o*
Fréquence de connexion : 3/7 (Mercredi & W.E)

Ann ... genre la Ann de mon caramel ?
*O* Bienvenue jolie créature <3

Ann ma douce Ann ~ <3 ne l'écoute pas.
èwé je me permets cette réplique unique : je ne fais pas peur.
Regarde mon sublime ava d'innocence. Je suis si pure !!
è_é tu believe in me hein Ann? Dis oui et je te montrerai le ciel *O*